Dans Internet on peut le dire une pirate va jour et nuit fureter dans les réseaux sociaux Avatar ouvrière de son patron au look émoticône elle sait par expérience pas un nuage d’images ne ressemble à un canular de canard. Depuis le temps tout va tout s’en va, hébergé un jour ici dans la toile elle traverse une existence nomade sans favori toute seule, elle ne télésnobe personne fantôme ouvrière

J‘ai des pensées avatars Toi tu vas dépenser des sous, beaucoup d’argent, il y a encore une heure un pirate candidat voulait me télésnober en dieu Poséidon pas question de me faire héberger dans un coin d’abysse. Les sirènes ça fait du bruit avec leurs queues de poisson, un sacré boucan, moi je suis capable d’aller fureter dans ces endroits inaccessibles inacceptables où flottent des nuages de méduses-émoticônes. Bon ça pique c’est douloureux et pour trouver la porte de sortie de ce Canular, il nous faudra démasquer le front de la terrible dame méchante grossière avec ses gros… mots. « Retournez chez vous les nomades », elle en est capable.

L’avatar fait de sa vie ce que bon semble à l’autre sans le télésnober. Quand l’un hébergeait l’autre ils partageaient aux heures des repas un délicieux couscous relevé d’un nuage d’harissa, recette découverte quand il furetait chez Marmiton.
— Je le connais pas celui-là, j’ai entendu dire qu’il était le favori des gourmands prêt à pirater n’importe quel site sans émoticône. Même le nomade King Kong perché en haut de son building mange du couscous seulement il n’a pas le temps de le savourer tellement qu’il est occupé à tout casser. C’est pas un canular je l’ai vu à la télé.

Lecture Michel